Ici 3 solutions concrètes
Ne nous mentons pas, l’heure est grave. Tu es vigneron, professionnel du vin, du Champagne et des spiritueux et tu as subi l’arrivée du Coronavirus comme un électrochoc. Tu as survécu au premier confinement, mais les médias ne te laissent aucune illusion. Pas plus que les grands acteurs du vin d’ailleurs… Comment surmonter la crise économique ? Une véritable débâcle nourrie par une deuxième vague interminable, à laquelle peut en succéder une troisième, etc. Stop ! Ne succombe pas au marasme. Je t’indique 3 étapes à suivre pour exporter ton vin dans l’après-Covid et te sortir de ce cauchemar.
1°/ Prendre du recul
C’est un point crucial ! Si tu ne prends aucune distance vis-à-vis de ce bouleversement, l’angoisse ne manquera pas de te paralyser. Demande-toi comment tes ancêtres pouvaient bien réagir dans ce genre de situations. Rappelle-toi l’un des événements les plus graves dans le monde du vin : la crise du phylloxera. Un puceron vorace introduit en France par erreur et se développant à toute allure, provoquant la destruction massive de millions d’hectares de vignes. Un mauvais virus en sorte.
Si tu y réfléchis bien, cette comparaison peut t’aider à te sentir mieux. Pourquoi ?
Parce que le vignoble français à l’agonie, c’est autrement plus grave qu’une activité tournant au ralenti.
Parce que le vin, le Champagne et les spiritueux Premium ont finalement traversé cette catastrophe pour mieux se développer à nouveau.
Voilà la philosophie d’iD ViN ! Ici nous choisissons les résultats plutôt que de nous trouver des excuses !
Maintenant que tu as relativisé, passons à l’étape suivante.
2°/ Analyser la situation
Si tu me suis sur YouTube, tu sais comment j’appelle le Covid-19 et de quelle façon je reste sereine face à la conjoncture :
- Le Cocoloco ne nous empêche pas de produire notre vin ;
- Le Cocoloco ne nous empêche pas de le consommer (bien au contraire !) ;
- Le Cocoloco ne fait que nous priver des circuits de commercialisation traditionnels.
Est-ce que c’est grave ?
Franchement, ces « circuits de commercialisation traditionnels », ça fait un moment qu’ils sont poussifs, n’est-ce pas ? Je ne cesse de répéter qu’ils nous forcent à gaspiller beaucoup de temps, d’argent et d’énergie.
Alors, pourquoi une telle panique ?
Simplement parce que ce qui nous arrive aujourd’hui ne nous laisse plus le choix.
Ce qui nous amène au troisième point.
3°/ Changer nos habitudes
Nous devons retrousser nos manches pour agir de manière radicalement différente :
- Plus de salons ;
- Plus d’accords faciles sur les marchés de vrac ;
- Plus de contacts directs avec les clients ni de ventes via les cavistes et les restaurateurs, au moins pour le moment.
Dans la majorité des cas, l’être humain préfère rester dans une situation problématique (mais familière) plutôt que prendre des risques, faire un effort ou se lancer dans l’inconnu.
Un exemple simple : tu as pris du poids et dois te priver de chocolat le temps de rééquilibrer la balance. Il te faut donc différer ton plaisir pour, finalement, continuer à en profiter. Deux réactions sont possibles :
- Tu te poses en victime. Tu deviens anxieux et t’accroches à la moindre miette de chocolat. Peut-être même en manges-tu davantage ? Jusqu’au jour où ce n’est plus la balance qui s’affole, mais la chaise qui craque !
- Tu prends une décision. Tu choisis de modifier ce qui doit l’être et instaures une discipline stricte pour atteindre ton objectif.
Sans surprise, seule une minorité parvient à changer son comportement.
C’est ce que nous te proposons dans nos clubs, ceux des vignerons et vigneronnes de talent qui n’hésitent pas à innover.
Continuer à exporter son vin, c’est possible !
Bien sûr que c’est possible !
Dans le Club des vignerons de talent, nous développons nos ventes export sans salon. En un an, nous parvenons à travailler avec 6 à 10 nouveaux importateurs. Dis-moi, quelle foire professionnelle te permettait un tel résultat, même avant le désastre du Coronavirus ?
Dans le Club 20, nous vendons en ligne, massivement et avec de bonnes marges. Nous progressons en France, mais aussi à l’étranger par des ventes en direct, avec une rentabilité accrue.
Ces clubs ne te sont pas destinés si :
- Tu aimes te plaindre ;
- Tu as toujours de bonnes excuses et d’autres préoccupations plus urgentes ;
- Tu préfères attendre le jour où ta trésorerie sera suffisamment rétablie pour réagir.
Désolée d’être dure, mais nous ne pouvons aider que ceux qui le veulent bien. J’entends par là les professionnels qui osent changer et apprendre de nouvelles méthodes. Car ils ont compris que ne rien faire, c’est courir au-devant de la faillite, voire ruiner un patrimoine foncier patiemment constitué, au fil des générations.
L’électrochoc du Covid t’a-t-il réveillé ? As-tu senti le vent tourner ?
Si c’est le cas, tu sais que pour rentabiliser tous tes investissements et efforts passés, tu dois innover, commercialiser ton vin autrement, t’entourer et adopter Internet.
Passe à l’action. Rejoins-nous dans le Groupe des Vignerons et Professionnels du vin intelligents sur Facebook. Et tu seras le bienvenu dans la Nouvelle Économie du Vin
Cheers,
Galatée