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Aujourd’hui, je vais te raconter mon histoire personnelle. Tout est parti d’un moment très difficile à vivre. De cette blessure, j’ai pu faire une force. Si j’en suis là maintenant, c’est parce que fin juillet 2015, j’ai découvert que mon conjoint me trompait. Je venais d’accoucher et mon second fils avait à peine quatre semaines. Évidemment, je comptais sur mon conjoint pour m’aider, dans la gestion de la famille et dans celle de mon entreprise. Au lieu de cela, je me suis retrouvée seule avec un bébé d’un mois et un petit garçon de 7 ans. J’étais dans l’impossibilité de me déplacer, d’assurer mes rendez-vous professionnels dans les vignobles ou de me rendre dans les Salons du vin. Une situation catastrophique et difficile à tenir moralement. Pourtant, je n’avais pas le choix. J’étais maintenant seule à bord. Je devais continuer à vendre du vin et à faire progresser mon entreprise. Il fallait que je m’en sorte, pour mes enfants et pour moi. Que faire alors ?

Trouver une solution simple et efficace pour automatiser les ventes de vin

Si je n’avais pas découvert la solution pour automatiser ma prospection et obtenir autant de ventes de vin que nécessaire, je ne serais pas là aujourd’hui.

Je te propose de réaliser quelques exercices ensemble, pour voir comment toi aussi tu peux t’aider d’Internet pour avancer.

Le premier exercice est simple.

Pose-toi quelques instants et réponds à cette question : quels sont les événements récents qui t’ont poussé à faire des recherches sur la Toile ?
La crise sanitaire ? Le mildiou ? Le gel ? Autre chose ?

Je reviens maintenant à mon histoire.

À l’époque, je gérais depuis 15 ans une agence classique d’accompagnement dans le monde du vin.

J’initialisais les stratégies de ventes pour de grands comptes. Des maisons de négoce célèbres comme Alphonse Mellot, Bougrier, Bestheim, GRM. Des grands noms comme Gérard Bertrand ou Jean-Claude Mas ou encore des syndicats d’appellations en Loire ou en Alsace.

Ça serait trop long de tous les citer !

Et en juillet 2015, brutalement, je ne suis plus en mesure de travailler comme avant.

Bloquée à la maison, je dispose de quelques créneaux à peine, d’une heure ou deux maximum, pour me concentrer sur mon travail.

Il était impossible pour moi de me déplacer et de laisser mes enfants seuls. Et je savais bien que si je ne trouvais pas de nouveaux clients, mon chiffre d’affaires allait vite décliner.

Je n’étais ni salariée, ni en congé maternité.

J’avais deux enfants à charge, qui me regardaient avec amour et confiance, persuadés que j’avais la solution.

Mais moi, à ce stade-là, je n’avais plus que mes peurs et mon anxiété.

Et toi, maintenant, quel est ton ressenti face à la crise actuelle ? Face aux accidents climatiques que tu as peut-être affrontés ?

Exprime tes émotions, écris-les, lâche-toi ! Qu’éprouves-tu ?

Rebondir pour aller plus haut : l’événement déclencheur

Quelques mois plus tard, j’ai eu un déclic.

À ce moment-là, pour la première fois de ma vie, je regardais les prix à la loupe au supermarché pour calculer si oui ou non, j’avais les moyens d’acheter un paquet de couches !

J’ai eu mon deuxième bébé à 43 ans. C’était une chance, c’était mon bébé baraka. Son énergie me portait et je devais tout faire pour assurer le bien-être de mes enfants et leur offrir un futur désirable.

J’étais au bout du rouleau. Je me sentais mal dans ma peau et j’étais épuisée. Je ne dormais plus depuis des semaines et avec la grossesse, j’avais pris 30 kilos. J’habitais dans un petit village perdu, je n’étais entourée que par des vignes. Mes amis étaient tous loin, et je n’avais pas de famille pour me soutenir autour de moi.

Cet événement, ce simple paquet de couches qui remettait tout en question a fait naître en moi une envie fondamentale, qui ne pouvait pas être arrêtée.

Je voulais être le parent responsable et sécurisant que j’avais toujours rêvé d’être pour mes enfants.

Pourtant, sans nouvelles commandes, sans autres clients et sans production, j’allais rapidement me retrouver à sec, sans ressources.

Je savais que mon talent et mon expertise, c’est de contribuer à faire vendre du vin.

Mon grand-père Marcello Fabri, un grand artiste, a écrit : « Tout homme qui ne fait pas bénéficier l’humanité de son talent est un voleur ». C’est bien sûr valable aussi pour les femmes et moi, j’étais bien consciente de mon savoir-faire.

Bref, tout ça tournait en boucle dans ma tête. J’étais à bout, ça m’épuisait littéralement.

Une prise de décision qui s’impose

Mon problème, c’est que je pensais que c’était impossible.

Je ne croyais pas en mes capacités. Quelque part au fond de moi, je ne voulais pas y arriver et je n’avais pas envie d’apprendre à faire différemment.

J’avais peur.

Peur que cela me prenne trop de temps et de ne pas avoir les compétences nécessaires.

Mais là, j’étais au pied du mur et j’avais un choix à faire.

Ne pas agir et laisser mes idées tourner dans ma tête.

Je voyais mon fichier client se tarir un peu à la fois. Je ne faisais rien pour attirer les prospects. J’étais préoccupée. C’était insupportable.

Jeune femme qui réfléchit

 

Ou je pouvais réagir.

Je ne voulais surtout pas être en difficulté financière.

Je n’avais pas envie de devenir frustrée ni d’être déçue par la vie que je menais. Je ne pouvais pas donner un tel exemple de vie à mes adorables enfants.

Je n’avais pas choisi d’être maman pour vivre ça.

Même si je freinais des quatre fers, il fallait que j’y aille. Tout me poussait à décider.

J’étais propulsée dans ce sens. Je devais digitaliser mon activité commerciale. J’avais besoin de synthétiser sur Internet tout ce que je faisais auparavant dans la « vraie vie ».

Pour diverses raisons personnelles, cela impliquait pour moi de partir vivre à l’étranger. Une contrainte supplémentaire se présentait donc.

Avec ce départ, j’allais devoir tout gérer en version numérique et cela allait prendre une dimension internationale.

C’était un tel challenge que d’une certaine façon, j’en ai tiré une énergie incroyable. Cette situation difficile allait devenir pour moi un tremplin vers la réussite.

Cette simple idée me redonnait le sourire. C’était comme une petite lumière qui me guidait vers la sortie du tunnel.

S’éloigner pour guérir

Partir.

M’en aller pour vivre mieux, avec ma famille, en partageant mon talent et mes ressources pour faire acheter du vin partout dans le monde.

C’était mon rêve, en fait.

J’ai décidé de le réaliser. Cette blessure de la trahison allait devenir un cadeau.

Je savais aussi qu’en me guérissant et en transformant cette situation, j’allais découvrir des clés. Ces clés peuvent être utiles à d’autres professionnels du vin.

Je n’étais sûrement pas la seule à avoir besoin de trouver de nouveaux clients et d’automatiser ma prospection.

Internet était l’outil que je devais utiliser.

Au départ, je travaillais quand même beaucoup à l’instinct. Les réflexes de survie ont pris le dessus dans les premiers temps.

Ma colère me donnait envie d’inverser la situation.

Je voulais faire mentir les statistiques : une maman solo peut créer quelque chose.

Oui, une mère épuisée est assez habile pour inventer une nouvelle économie.

Une femme en colère est en mesure de réussir pour ses enfants.

Une maman seule est capable d’offrir à ses enfants une vie au bord de la mer et se remettre d’un événement difficile.

Et tout ça en travaillant dans le monde du vin et en normalisant la prospection et la vente de vin, de champagne et de spiritueux.

Quel doux rêve. C’était pourtant si dingue, ça me semblait trop beau pour être vrai.

Partir loin pour réussir

 

Bien sûr, il y avait des écueils.

Je manquais de temps et j’étais épuisée. Je ne dormais pas assez.

Toute la documentation existante sur l’automatisation de la prospection et les sujets d’avant-garde étaient en anglais. Et j’étais persuadée d’avoir un petit niveau dans la langue de Shakespeare.

J’ai donc commencé par essayer de déléguer.

C’est ainsi que j’ai fait appel à des webmasters à Hong Kong. J’ai passé beaucoup de temps à leur expliquer ce que je voulais et j’y ai laissé mes économies…

Apprendre de ses échecs et continuer à avancer

Au bout de plusieurs mois d’efforts, je me suis rendu compte que mes outils étaient obsolètes.

Ils étaient vite devenus peu efficaces.

Je n’arrivais pas à les actualiser moi-même ou à changer les éléments quand c’était nécessaire. Les optimisations n’étaient pas dynamiques et les corrections difficiles à apporter.

Et aujourd’hui, la Toile, c’est presque un organisme vivant. L’optimisation doit être simple, rapide et immédiate.

Forcément, j’étais bloquée et ça ne marchait pas comme je voulais. Quand j’attendais 100 clients, il n’y en avait qu’un qui arrivait.

Se battre pour trouver des clients

 

Et toi ? À ce stade, dis-moi, que fais-tu pour automatiser ta prospection sur le Web ? Est-ce que cela fonctionne ? Est-ce que c’est efficace ? Comment utilises-tu ta plateforme Internet et comment se portent tes ventes à distance ?

Je faisais de mon mieux pour que cela réussisse sans déplacements à l’export et sans Salons.

Je ne pouvais pas quitter la maison, impossible de laisser les enfants ni de les faire garder pendant plusieurs jours.

J’avais du talent et deux enfants à charge : ça devait absolument marcher.

Mais je n’arrivais pas à libérer ma parole ni à présenter ma vérité avec les outils qui étaient à ma disposition sur le Web.

Impossible pour moi de dire la profondeur de ma mission et de mon engagement à défendre le vin.

Du coup, je compliquais tout. Je souffrais à la fois du syndrome de l’imposteur et du syndrome de l’expert. Je ne parvenais pas à exprimer le fond de ma mission. Personne ne comprenait ce que je faisais.

Je me perdais, et je perdais des clients.

Mon fichier d’anciens clients continuait à se réduire. Je dépensais toutes mes économies, mais je n’avais pas assez de nouveaux clients pour maintenir et développer mon activité.

En réalité, le flux de prospects et d’acheteurs attendus n’était pas suffisant.

Ensemble, on va plus loin

J’ai alors compris que je devais me faire aider.

Il fallait que je me forme et que je procède différemment. J’ai contracté un prêt de 50 000 euros auprès de ma banque pour me former, en anglais, sur ces outils. Je n’avais jamais fait un prêt de cet ordre-là.

Je n’avais pas le choix.

Sans un flux constant de nouveaux clients réguliers, je risquais de tout perdre.

Mon héritage familial et le futur désirable que je voulais offrir à mes fils. Et aussi le respect de moi-même.

Cela m’échappait, je me sentais mal.

Je m’emportais contre Internet et les webmasters.

Je m’énervais pour un rien, mes enfants en faisaient les frais. Je n’arrivais pas à trouver du temps pour jouer avec eux et j’étais constamment préoccupée.

C’était un cercle vicieux. Je ne pouvais pas appuyer sur le bouton pause pour mettre en place la solution.

Je me sentais encore plus mal parce que j’avais vieilli. Je manquais d’énergie et d’amour-propre.

Je pensais être nulle à l’écran et j’étais persuadée que mon niveau d’anglais était minable. Je n’osais pas faire de vidéos en anglais.

J’avais l’impression d’être incapable et j’étais en situation d’échec. J’avais essayé quelque chose et ça n’avait pas fonctionné.

C’est à ce moment-là que j’ai pris le tournant.

S’envoler vers son rêve

J’ai déménagé à 10 000 kilomètres, avec mes deux enfants. Nous sommes partis vivre au bord d’une plage.

J’avais dégoté un job alimentaire, c’était facile avec mes 15 années d’expérience dans le vin.

Ça a été un deuxième choc.

Par la force des choses, j’ai vite compris qu’en me trouvant si loin des vignobles, pour pouvoir continuer à aider les vignerons et les vigneronnes, tout devait être numérisé.

Tout, absolument tout devait être automatisé.

Je n’avais plus le temps de me plaindre et je devais me lancer.

Et le plus important, c’était que je puisse construire tout cela moi-même.

Je devais être capable de le gérer en quelques clics, en un minimum de temps. Avec des vidéos et des outils de diffusion spécifiques et dynamiques.

Tout cela devait aller vite, puisque j’avais un autre job à côté.

Au fur et à mesure, j’ai appris. À marche forcée, mon instinct de survie a pris le dessus.

J’ai découvert comment fonctionner sans Salons, sans journalistes, sans agents, sans revendeurs et sans déplacements.

Tout le monde se demandait qui m’aidait, mais il n’y avait personne !

J’ai découvert comment automatiser la prospection et la déléguer grâce aux bons outils qui naissent sur le Net.

Tout a commencé à s’accélérer, j’ai eu des revenus supplémentaires.

Pour avancer vite et bien, je me suis fait coacher. Je me suis formée sans relâche, en m’imposant une discipline stricte, en travaillant beaucoup et en menant des actions régulières.

J’avais trouvé le fil de joie qui me guidait, je ne le lâchais plus.

Grâce à tout cela, j’ai pu obtenir un flux régulier de prospects et de clients de façon quasi automatique.

Chaque mois, chaque année, cela devenait de plus en plus important.

Alors, j’ai décidé de passer à la vitesse supérieure.

La naissance d’iD ViN school

J’ai créé mon service iD ViN school.

Le projet a pris la forme de clubs dédiés à des ciblages de vente de vins différents.

C’est ainsi que sont nés le club 20 et le club des vignerons de talent. Sans oublier le club mini-box, pour découvrir le packaging du vin écologique.

J’ai fait acheter du vin par les clients de mes clients. Et à mon tour, j’ai formé mes clients.

Ils travaillent maintenant sur des outils spécifiques, adaptés au monde du vin, du champagne et des spiritueux premium, depuis la France ou les autres pays.

J’ai alors réalisé que le secret pour digitaliser efficacement son activité, c’est bien sûr de synthétiser son action sur la Toile.

Mais surtout, c’est d’être authentique.

En partant vivre à l’étranger, en quittant les vignes, j’ai été obligée de tout gérer en numérique et à distance, avec les contraintes de l’international.

Je me suis forcée à automatiser la prospection, et j’ai trouvé les outils adéquats pour la vente de vin et de champagne.

Et tout cela, bien avant la crise sanitaire.

Aujourd’hui, j’aide les professionnels du vin à vendre plus de bouteilles. Aussi à mieux les écouler : plus cher, avec plus de marges en y passant moins de temps et surtout sans avoir besoin de se déplacer.

C’est cette méthode qui me permet de vivre au bord de l’eau.

Aujourd’hui, je bénéficie d’un temps très qualitatif avec ma famille, je profite de mes enfants. J’accompagne aussi de plus en plus de vignerons et de spécialistes talentueux dans le monde entier.

Quelle récompense de pouvoir partager ce que j’appelle la nouvelle économie du vin.

Cette synthèse d’outils efficaces permet aux professionnels intelligents de trouver la solution qui leur convient pour attirer de nouveaux clients.

Répondre aux besoins des vignerons

Celles et ceux qui ont rejoint mes clubs obtiennent plus de clients et ont de meilleures marges. Ces pros réussissent, ils ont plus de moyens.

Cela leur permet de déléguer et de profiter de plus de temps libre et d’avoir confiance en l’avenir.

Grâce à tout cela, les professionnels débutants sur Internet ont vu leurs ventes directes s’envoler à la hauteur de 10 000 euros par mois, puis de 10 000 euros en un week-end. Sans intermédiaire et en automatique.

Quel bonheur pour eux et pour moi.

Les vignerons travaillent dans leur vigne et pendant ce temps-là, les commandes tombent automatiquement.

Cela peut également sauver des exploitations familiales, comme celle de ma cliente qui a pu se créer une véritable carrière en préservant l’héritage familial. Cela a changé toute sa vie.

Commence toi aussi à libérer ta parole et à exprimer ta vérité, tout comme moi !

Explique la profondeur de ce que j’appelle la mission de vigne et ton engagement à défendre ton vin.

Cesse de tout compliquer, d’être préoccupé et d’avoir le syndrome de l’expert et de l’imposteur en même temps, comme j’en souffrais avant.

Je perçois que ces derniers temps, il y a encore trop de professionnels du vin qui sont bloqués dans la situation dans laquelle j’étais. Ils ont le sentiment de manquer de temps, d’argent ou de compétences.

Je les vois perturbés comme moi aussi je l’étais par ma lutte pour trouver de l’argent. J’ai vécu moi aussi cette histoire. Je n’avais tout simplement pas la bonne approche.

Vivre et travailler au soleil

 

J’ai affiné ma méthode au fil du temps. La nouvelle économie du vin, c’est maintenant une optimisation dynamique.

Une méthode unique qui permet en 3 étapes simples d’obtenir autant de clients que nécessaire.

À toi la vie dont tu rêves, au bord d’une plage ou ailleurs.

Avec ma méthode, tu pourras digitaliser et synthétiser sur Internet tout ce que tu fais. Tu pourras gérer la prospection et la commercialisation numérique en France et à l’export en évitant les pièges.

C’est nouveau et c’était inimaginable il y a encore quelques années.

Je veux partager tout cela avec toi. Avec de la motivation, tu peux réussir, j’en suis convaincue. Passe à l’action dès maintenant. C’est à ta portée en étant accompagné dans ce partage. Rejoins mon groupe Facebook et prends rendez-vous. Faisons ensemble un audit de ton potentiel de ventes dans la nouvelle économie du vin. Regardons de combien de clients tu as besoin, ou le juste prix auquel vendre ton vin, ou encore dans quels pays tu peux vendre tes produits. Analysons ce qui te freine et ce que tu supportes. La réalité actuelle dans laquelle tu te débats se situe entre ce que tu tolères et ce que tu crois possible. Nous pouvons faire bouger cela. Évaluons ensemble la transformation de vie dont tu rêves et qui s’offre à toi avec la nouvelle économie du vin. C’est de la cocréation, j’ai besoin que tu agisses également. C’est gratuit et sans engagement. Le seul engagement, tu le prends envers toi-même. Tu peux à présent changer ton futur. Prends rendez-vous avec moi tout de suite !