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Dans cet article, nous allons aborder un sujet tabou. C’est l’argent ! Et plus précisément, l’argent dans le monde du vin. Nous sommes ici entre professionnels, c’est d’accord ? Nous constituons une petite communauté internationale intelligente. Nous pouvons donc nous parler franchement, à cœur ouvert. Des producteurs de vin premium, de champagne de qualité et de spiritueux d’exception qui œuvrent en BtoB de façon smart. Être vigneron, c’est un métier qui fait rêver. Travailler la vigne, c’est noble ! C’est distingué, mais ça ne rapporte pas d’argent ! Vraiment ? La vigne ne serait pas rentable ? C’est ce que nous allons voir !

L’argent ne fait pas le bonheur, mais…

Dans le passé, les producteurs de vin prospéraient. De nos jours, il y a ceux qui s’en sortent, et il y a les autres.

C’est vrai que « l’argent ne fait pas le bonheur », comme le dit le célèbre adage.

« Celui qui a dit cela est un sacré menteur », a ajouté le baladin.

Nous avons conscience que si l’argent ne garantit pas l’amour ou la santé, il contribue grandement à notre sécurité et notre bien-être, tant physique que mental.

Ne nous voilons pas la face, il vaut mieux être fortuné que de tirer le diable par la queue !

Tous les vignerons savent bien que faire un beau vin qu’on pourra transmettre à ses petits-enfants coûte très cher. Autant être ami avec l’argent et ne pas avoir peur de lui.

Et toi, quel est ton rapport à l’argent ?

Il apparaît que la tendance est au retour à la nature. Tant mieux !

Mais malheureusement, quelques néovignerons ou même la nouvelle génération viticole semblent accompagner ce « retour au vrai » d’un sentiment de rejet de l’argent. Ils sont, dans certains cas, fâchés avec le capital.

Ils tendent vers la décroissance et parfois vont jusqu’à tomber dans le survivalisme ! Quel dommage !

Mieux interpréter les messages de la nature

Avoir de l’argent, ce n’est pas contre nature !

Notre époque livre une mauvaise interprétation de ces messages.

La vigne est une liane. Une liane qui pousse de la terre vers le ciel ! Elle connaît un déploiement exponentiel.

La nature cherche à s’étendre et à croître. La règle de base dans la jungle, c’est de se multiplier et de s’épanouir au maximum.

Et cela, par tous les moyens possibles en restant dans le respect absolu des autres espèces, des plantes, du sol et des êtres vivants.

Tout est en place pour que les professionnels du vin puissent eux aussi vivre leur métier dans une abondance exponentielle et internationale.

Évidemment, toujours d’une façon éthique et respectueuse des autres.

L’argent n’est pas un but, mais un moyen. Et quand on a des ressources, on peut faire de très belles choses.

Cesser de porter des œillères

Qui est le seul à ne pas s’en apercevoir ? C’est le vigneron lui-même !

Pour quelles raisons s’entêté -t-il à ne pas voir l’évidence ?

Parce qu’il a pris cher ces dernières années, voire ces dernières décennies, parce que le gel l’a fait terriblement souffrir, c’est un sujet à lui tout seul !

À force de s’en prendre plein la tête, le viticulteur souffre et il ne voit plus clair. Les professionnels du vin sont usés et ils ont dû s’endurcir.

Parfois, ils se sont contentés de miettes, et à force, on s’habitue au manque et on se satisfait de ce que l’on a. C’est que la nature nous a également appris à être souples et à nous adapter.

Sans même s’en rendre compte, certains producteurs de vin se sont fâchés avec les sous. Parce qu’on a beau dire, quand on n’a pas d’argent, on est aussi en colère contre ce maudit fric qui ne vient pas.

Et on entre dans un cercle vicieux qu’on entretient soi-même.

Changer son point de vue sur l’argent

Notre propre vision de l’argent a une grande influence sur la prospérité dont nous profitons — ou pas.

Cadre luxueux pour boire du vin

Comparons ce qu’il se passe dans la tête d’un banquier et celle d’un vigneron.

Le banquier ne craint pas l’argent, il l’aime, il considère qu’il n’y a pas de honte à en avoir. Au contraire, il sait qu’il est indispensable et c’est ça qui fait tourner l’économie — et le monde.

C’est peut-être un peu caricatural, mais ça peut expliquer ce qui bloque les ventes du professionnel du vin.

  • L’expert financier, face à la crise sanitaire, a pensé : « Youpi ! On va entrer dans une période de création monétaire ».
  • Le vigneron, dans la même situation, a été submergé par la peur, le stress, et a essayé de dépenser le moins possible, puisqu’il ne savait pas ce qui l’attendait — comme le banquier et le reste du monde, d’ailleurs !
  • Le banquier s’est montré enthousiaste et a perçu la crise comme une source d’opportunités à saisir.
  • Le professionnel du vin, lui, a été envahi par des émotions négatives. Il était bloqué, n’a plus réussir à agir pour s’extraire de ce mauvais pas et n’a surtout, surtout, rien placé. Il fallait garder des noisettes pour l’hiver.

Face à ces pensées et à ces émotions, leurs comportements respectifs ont bien sûr été complètement différents :

  • Le gestionnaire financier a réalisé des investissements ciblés et bien réfléchis en amont. La nature de son métier lui a appris à mesurer les risques. Il est resté prudent, mais pour continuer à progresser, il sait qu’il devait tout de même mettre la main au portefeuille.
  • Le viticulteur a simplement continué en « mode survie ». Il a limité ses actions au strict minimum, en croisant les doigts pour que l’orage passe vite.

Quel est le bilan que chacun tire de cette drôle de période ?

  • Le banquier a transformé la crise en une belle opportunité de croissance.
  • Le professionnel du vin a régressé et maintenant que le gros grain s’éloigne, il peine à relever la tête, sa situation est plus que jamais celle d’un survivant.
    Si toi aussi, tu as réagi comme le professionnel du vin plutôt qu’à la manière de l’expert en investissements, c’est que tu es fâché avec l’argent !

Se réconcilier avec la fortune

Quel dommage d’être incapable de te réconcilier avec la finance.

Il n’y a pas de honte, tu sais.

Non, l’argent n’est pas sale et les banquiers ne sont pas tous des salauds.

Cela ne doit pas être ton unique but, on est d’accord. Mais avoue que tu dormiras mieux si tu améliores la trésorerie de ton domaine?

Pour parvenir à tirer ton exploitation vers le haut, tu dois consentir à gagner des sous.

C’est un principe fondamental si tu veux être aidé. Pour que je t’accompagne vers le chemin de la prospérité, tu dois être ouvert et accepter de changer ton point de vue, vraiment.

Et à partir de là, tu verras, tout ira bien.

Avec ID Vin, tu peux accéder à l’abondance à laquelle tu aspires. Je sais que tu as pris des coups durs au niveau financier, mais tu peux trouver la solution pour que cela ne soit bientôt plus qu’un mauvais souvenir. Nous pouvons t’aider à sceller et amplifier ta réussite professionnelle malgré — voire grâce à — la crise. Et tu pourras être fier. N’oublie pas que produire du vin, c’est un métier noble. Rejoins-nous, je te propose de commencer par trois exercices simplissimes qui te rendront ami avec l’argent. Par les temps qui courent, tu n’as plus une minute à perdre ! Viens sur notre groupe FB, et passe à l’action en cliquant ici pour intégrer le club des vignerons de talent!